Tisserand de la compréhension du devenir
Conférencier, expert et auteur

Ras-le-bol du victimisme et du rétro-racisme

Ras-le-bol du victimisme noir et du rétro-racisme indigéniste.

L'affaire George Floyd, à Minneapolis, est flagrante !

Un délinquant multirécidiviste noir, lors de son interpellation par un policier blanc, résiste et se fait plaquer au sol, mais le policier, trop brutal, finit par étouffer le délinquant qui meurt. Le policier est inculpé d'assassinat. Et comme toujours, ce fait divers de Minneapolis est immédiatement récupéré par le show-business en mal d'audience et par les groupuscules rétro-activistes qui rêvent d'insurrections et de violences extrêmes pour combattre … la violence banale.

 

Les chiffres américains parlent d'eux-mêmes :

 

 

Blancs

Noirs

Population totale

78,7 %

13,4 %

Population carcérale

64,7 %

32,8 %

Densité carcérale

0,82

2,54

 

Les Noirs, aux USA, sont de loin les moins instruits (l'école y est pourtant gratuite et obligatoire). En conséquence directe, parmi eux, il y a plus de chômage et plus de bas revenus.

En revanche, les Asiatiques qui totalisent 5,9% de la population, ainsi que les Juifs, sont de loin plus instruits que tous les autres, ne connaissent ni chômage, ni incarcération, et engrangent des revenus moyens nettement supérieurs quoiqu'un peu inférieurs à ceux des Wasps.

Le problème n'est pas la couleur de la peau, mais le QI.

Le meurtre de George Floyd par un policier (d'ailleurs justement inculpé d'homicide volontaire) est inadmissible, mais des meurtres de ce genre, tant contre des Blancs que des Noirs, sont monnaies courantes dans ce pays cultivant la violence (notamment avec les mythes du cow-boy flingueur et des gangsters mitrailleurs). Le vrai problème global des USA est le très bas niveau culturel, toutes races confondues. On y confond être malin et être intelligent, être éduqué et être instruit, être socialisé et être scolarisé. Donald Trump, à lui tout seul, incarne ces confusions majeures.

L'Américain moyen (c'est un pléonasme) est ignare et c'est ça le problème américain ; et les Noirs y sont encore plus ignares que les autres et c'est ça le problème noir, pas la couleur de la peau.

 

En France, il existe la même problématique avec bien des jeunes Africains et Maghrébins qui refusent de s'instruire et se complaisent dans les trafics et violences de toutes sortes.

Mais le victimisme ambiant et tous les rétro-racismes refusent d'accepter l'idée que les "minorités ethniques" sont les seules responsables, à la fois, de leur situation d'infériorité sociale liée à leur inculture, et du rejet que leur oppose la population majoritaire, du fait de leur propension à la délinquance.

 

Un simple regard sur les chiffres officiels du FBI en 2018 suffit :

  • 8% de Noirs tués par des Blancs.
  • 81% de Blancs tués par des Blancs.
  • 15,5% de Blancs tués par des Noirs.
  • 89% de Noirs tués par des Noirs.

Si l'on ramène ces chiffres aux populations blanche (260 M) et noire (40 M), on comprend mieux … Aux USA, les Noirs assassinent 12 fois plus de Blancs que les Blancs n'assassinent de Noirs.

 

En France aussi, comme aux Etats-Unis avec ce multirécidiviste de George Floyd, on y va de la même grande manipulation avec cet autre multirécidiviste, membre d'une famille de haute délinquance, appelé Adama+ Traoré.

Sous prétexte que ces deux malfrats sont noirs (ce dont tout le monde se fout) et que les policiers interpellants sont blancs (ce qui est statistiquement évident dans des pays à très forte majorité blanche), on inverse les rôles : les crapules sont des victimes (Que doivent en penser leurs propres victimes ?) et les policiers sont des crapules …

C'est bien cela que j'ai appelé le rétro-racisme, un des formes du rétro-activisme, le tout dans le contexte nauséabond du victimisme ambiant.

Tout le monde sait qu'en France et, plus particulièrement, en Île de France et à Marseille, la palme de la délinquance revient, et de loin, à des Maghrébins et à des Noirs.

Le dire n'est pas faire du racisme, mais constater des faits statistiques.

Je le dis et je le répète, la délinquance n'est pas affaire de couleur de peau, mais bien affaire de QI (c'est-à-dire d'un mélange d'hérédité et de scolarité).

 

L'évidente et indiscutable inégalité globale entre les humains (toutes races confondues) vient de ceci qu'ils se répartissent sur des échelons différents d'une même et unique échelle : celle des complexités et richesses des comportements sociaux et mentaux.

Pour le dire abruptement, la différence colossale entre un crétin et un génie est que le crétin ne maîtrise qu'une palette très étroite et pauvre de comportements sociaux et mentaux : quelle que soit la situation, il ne dispose que d'une poignée de réponses possibles, les plus primaires, tant dans ses relations aux autres (domination ou soumission, attirance ou haine, violence ou gaudriole, méfiance ou confiance, etc …) que dans ses relations aux événements (plaisir ou douleur, peur ou addiction, gourmandise ou dégoût, etc …).

Le crétin est prisonnier de simplismes binaires. A l'autre bout de l'échelle des complexités comportementales, les élites cultivent un spectre large de réponses aux autres et aux événements, qui s'enrichit sans cesse, au fil des expériences.

 

L'observation semble indiquer deux choses essentielles :

  • Cette échelle des complexités comportementales est formée d'échelons bien séparés, avec d'importants effets de seuil entre eux (c'est une échelle quantique, en somme).
  • Le nombre de ces échelons est petit, de l'ordre de trois, quatre ou cinq, vraisemblablement.

Une étude, même si elle serait aujourd'hui considérée comme politiquement incorrecte, est indispensable pour déterminer le spectre (pauvre) des binarités du bas de l'échelle et le nombre (petit) de ses échelons.

Mais une telle étude ne sera possible qu'en posant d'emblée l'inégalité fondamentale entre les humains. Y imposer une idéologie de l'égalité ou de l'égalitarisme ne serait qu'un biais méthodologique ridicule.

 

Marc Halévy

Du 4 au 9 juin 2020