Tisserand de la compréhension du devenir
Conférencier, expert et auteur

Prospective économique et managériale

Articles de prospective appliquée au plan ECONOMIQUE (les économies de demain et la fin des économies d'hier: richesse, valeur ajoutée, nouveaux métiers, nouveaux fonctionnements, nouvelles valeurs, ...) et MANAGERIAL (L'entreprise et son management: implications du changement de société. Quel(s) manager(s)? Quel(s) métier(s)? Quelles valeurs montantes? Les femmes dans le management? etc.).

Modèle économique global

L'économie mondiale globale (hors économies mafieuse, pirate et démonétisée qui, ensemble, représentent 5/6 de l'économie réelle totale) est un système complexe qui peut être modélisé sur base de quatre paramètres fondamentaux. Une analyse de Marc Halévy (avril 2009)

La notion de "finalité" collective : l'intention collective

L'Intention Collective peut s'identifier à la notion de "projet de l'entreprise", mais pas à celle d'objectifs stratégiques. En effet, il faut être bien clair que les objectifs stratégiques (devenir numéro un en Europe, doubler le chiffre d'affaire ou tripler le cash-flow, le tout à telle date) ne sont qu'une traduction technique, managériale et circonstancielle de l'Intention Collective qui, elle, doit être posée en amont de toute déclinaison stratégique. Un article de Marc Halévy (mai2009).

Les problématiques dominantes aujourd'hui en entreprise

L'entreprise, aujourd'hui, plus que jamais, est au centre d'une tourmente qui exige d'elle qu'elle revisite ses fondamentaux et qu'elle redéfinisse sa finalité réelle et profonde. Voici 7 des principales problématiques rencontrées par l'entreprise. Une brève analyse de Marc Halévy (mai 2009)

Macroéconomie : bilan et perspectives

Le début d'une nouvelle décennie invite naturellement à prendre recul et mesure. Beaucoup ne s'en privent pas et brandissent à foison des batteries d'indicateurs visant à confirmer par des chiffres (ah! tyrannie du quantitatif) que leur optimisme ou pessimisme sont parfaitement légitimes. Les discours politiques et les délires médiatiques relaient abondamment ces inepties.

Que vaut notre argent ?

Si les planches à billets fonctionnaient partout à fond sans tenir compte du travail réellement produit, l'abondance de monnaie serait équivalente à une gratuité généralisée. Où serait le problème ?

Mort du couple infernal "grande distribution - industrie agroalimentaire"

La grande distribution et sa complice en forfait contre le bien-vivre, l'industrie agroalimentaire, sont aujourd'hui devant une équation impossible. Leur modèle économique ne tient que par deux leviers : les effets de masse et d'échelle, le laminage des marges de leurs fournisseurs-producteurs. Sans parler des crédits à la consommation qui favorisent l'endettement des ménages, mais qui s'effondrent face à l'insolvabilité croissante.

Economie et endorégulation

L'économie est malade, la finance est son cancer ... Lorsque l'économie est malade, se pose le problème de sa régulation et du retour à sa bonne santé. La rupture d'équilibre notoire du système économique - que nous vivons et nommons timidement "crise" - incline d'aucuns à proclamer la fin du mythe de l'autorégulation économique et à enterrer la main invisible d'Adam Smith. C'est aller un peu vite en besogne. Et c'est surtout se tromper lourdement que de proposer une quelconque forme d'étatisme (donc d'une exorégulation lourde, rigide, primitive et simpliste) comme palliatif. Ce serait un peu comme prôner le recours à des rustines et sparadraps pour réparer les dysfonctionnements génétiques des cellules cancéreuses.

Le problème énergétique

Lorsque l'on parle de consommation d'énergie, on entend beaucoup de positions idéologiques et de délires du type "café du commerce". Comme mon travail de prospective m'amène souvent à devoir parler du tarissement des ressources en général et des réserves énergétiques en particulier, et que je suis alors souvent en butte avec une incompréhension des concepts physiques réellement en jeu, j'ai commis une petite note. A lire sur ce site. Marc Halévy

L'économie à l'aune de la physique complexe …

Le processus économique mondial vit, sous nos yeux, une bifurcation majeure qui illustre, à merveille, la puissance des modèles issus de la physique de la complexité. Pour comprendre la profonde "crise" mondiale actuelle, il est nécessaire de faire retour aux fondamentaux de la dynamique des systèmes complexe. L'humanité est un tel système elle n'échappe en rien aux lois qui président aux évolutions systémiques. Notre "crise" n'est en fait qu'un processus de rupture parfaitement analysable et compréhensible en termes de physique complexe. Voici un extrait du LIVRE "Univers complexe" de Marc Halévy (A PARAITRE en janvier 2011, Editions Oxus).

Mes anticipations pour 2011

Marc Halévy propose sa vision prospective de l'année à venir : confirmation de l'entrée en décroissance, accélération du déclin et de la perte de leadership (et de crédibilité) des USA, explosion de la bulle spéculative sur les "dettes publiques", progrès dans le processus d'intégration politique de l'Union Européenne, augmentation des tensions sociales, développement de difficultés financières et sociales en Chine, continuation de la dislocation mondiale en grands blocs, radicalisation droitière en Europe.

Vous avez dit "richesse" ?

Qu'est-ce que la richesse ? Quelles richesses pour demain ? La finalité essentielle de toute entreprise est de produire de la richesse. Telle est la fonction première de tout l'économique. Mais derrière cet apparent truisme, se dissimule une question bien difficile : qu'appelle-t-on "richesse" ? Par une navrante myopie, la richesse, ces dernières décennies, a été confondue avec sa seule composante financière : réduction puérile de la richesse à l'argent.

De l'imposture économiste

Comme ses consœurs les autres "sciences" humaines, la science économique n'est pas une science au sens que la philosophie en général et l'épistémologie en particulier accordent à ce mot.

Comprendre ce que s'engager veut dire

S'engager, c'est se mettre en gage c'est-à-dire mettre la valeur de ce que l'on est en gage face à la valeur de qui l'on va devenir. S'engager professionnellement, c'est gager sur cet accomplissement personnel par le truchement d'un accomplissement collectif d'un projet commun. Ce projet s'appelle l'entreprise.